Les prévisions des conditions météorologiques favorisant les risques de départs de feu évoluant ce 14 août, la préfecture du Var a affiché un niveau de danger feu des massifs forestiers de la presqu’ile en Rouge Très Sévère, soit un niveau élevé du risque incendie.
Ce classement de la forêt en zone rouge avec un niveau de risque d’incendie Très Sévère conduit à l’interdiction de l’accès, la présence et de tous travaux dans les massifs forestiers.
Attention, des personnes malintentionnées envers notre association prétendent que nous serions contre le débroussaillement. C’est bien évidemment faux et nous vous recommandons de vérifier que vous avez pris toutes les précautions contre l’incendie conformément aux prescriptions préfectorales en vigueur dans le Var (http://www.var.gouv.fr/l-obligation-de-debroussailler-a1217.html).
La carte est publiée chaque jour, avant 19h, pour la journée du lendemain. Ouvrez la carte du jour en cliquant sur la carte ci-contre.
Pour ce deuxième goéland trouvé par Patricia et Arnaud avec une aile fracturée le 15 mai dernier, la deuxième tentative d’envol était la bonne, comme pour le précédent, voir cet article. Grâce aux premiers soins d’Antoine pour réduire la fracture, ses conseils pour les soins quotidiens prodigués par Monique, ce deuxième goéland s’est envolé pour reprendre sa vie d’oiseau libre.
Antoine a mis au point une technique très adaptée pour les essais d’envol : le goéland est amené dans son annexe en mer à la sortie du port, au large de la plage de la Vieille, pour y être relâché. A la première tentative, il y a 15 jours, il avait réussi à décoller mais pour se reposer immédiatement, certainement à cause du manque d’exercice après l’enlèvement de son atèle. Ses soigneurs l’ont donc récupéré avec un grand salabre pour 15 jours supplémentaires de convalescence. Cette fois-ci, il a pris son envol du bateau pour aller se poser à distance sur les rochers de la digue.
100% de réussite pour ces deux goélands blessés : Un grand merci à Antoine, Jean-Pierre, Hélène, Monique et Pierre qui l’ont trouvé, soigné, nourri quotidiennement et relâché.
Bon vol à tous
Les conditions météorologiques favorisant les risques de départs de feu évoluant légèrement ce 4 août, la préfecture du Var a baissé le niveau de danger feu des massifs forestiers de la presqu’ile mais qui reste en Rouge Très Sévère, soit un niveau élevé du risque.
Ce classement de la forêt en zone rouge avec un niveau de risque d’incendie Très Sévère conduit à maintenir l’interdiction de l’accès, la présence et de tous travaux dans les massifs forestiers.
Attention, des personnes malintentionnées envers notre association prétendent que nous serions contre le débroussaillement. C’est bien évidemment faux et nous vous recommandons de vérifier que vous avez pris toutes les précautions contre l’incendie conformément aux prescriptions préfectorales en vigueur dans le Var (http://www.var.gouv.fr/l-obligation-de-debroussailler-a1217.html).
La carte est publiée chaque jour, avant 19h, pour la journée du lendemain. Ouvrez la carte du jour en cliquant sur l’image ci-dessous.
Les conditions météorologiques favorisant les risque de départs de feu se renforçant ce 3 août la préfecture du Var a classé le niveau de danger feu des massifs forestiers de la presqu’ile en Rouge Extrême, niveau le plus élevé du risque.
Ce classement de la forêt en zone rouge avec un niveau de risque d’incendie Extrême conduit à l’interdiction de l’accès, la présence et de tous travaux dans les massifs forestiers.
Attention, des personnes malintentionnées envers notre association prétendent que nous serions contre le débroussaillement. C’est bien évidemment faux et nous vous recommandons de vérifier que vous avez pris toutes les précautions contre l’incendie conformément aux prescriptions préfectorales en vigueur dans le Var (http://www.var.gouv.fr/l-obligation-de-debroussailler-a1217.html).
La carte est publiée chaque jour, avant 19h, pour la journée du lendemain. Ouvrez la carte du jour en cliquant sur l’image ci-dessous.
Les conditions météorologiques favorisant les risques de départs de feu pour la 4ème fois cet été, et la première fois de ce mois d’août, la préfecture du Var a classé le niveau de danger feu des massifs forestiers de la presqu’ile en Rouge Très Sévère aujourd’hui.
Ce classement de la forêt en zone rouge avec un niveau de risque d’incendie Très sévère conduit la préfecture à interdire l’accès, la présence et les travaux dans les massifs forestiers.
La carte est publiée chaque jour, avant 19h, pour la journée du lendemain. Ouvrez la carte du jour en cliquant sur l’image ci-dessous.
Attention, des personnes malintentionnées envers notre association prétendent que nous serions contre le débroussaillement. C’est bien évidemment faux, l'APE est pour le débroussaillement et a d'ailleurs déjà rappelé ses obligations en la matière à la municipalité, voir notamment ce courrier du 7 juillet 2009 adressé au maire Gilles Vincent. Nous vous recommandons de vérifier que vous avez pris toutes les précautions contre l’incendie conformément aux prescriptions préfectorales en vigueur dans le Var (http://www.var.gouv.fr/l-obligation-de-debroussailler-a1217.html).
Les conditions météorologiques favorisant les risque de départs de feu perdurent pour le 3ème jour consécutif. La préfecture du Var maintien donc le niveau de danger feu des massifs forestiers de la presqu’ile en rouge encore aujourd’hui.
Le classement en zone rouge indique que le niveau de risque d’incendie est Très sévère et conduit la préfecture à maintenir les interdictions d’accès, de présence et de travaux dans les massifs forestiers.
Attention, des personnes malintentionnées envers notre association prétendent que nous serions contre le débroussaillement. C’est bien évidemment faux, l'APE est pour le débroussaillement et a déjà rappelé ses obligations en la matière à la municipalité, voir notamment ce courrier du 7 juillet 2009 adressé au maire Gilles Vincent.
Nous vous recommandons de vérifier que vous avez pris toutes les précautions contre l’incendie conformément aux prescriptions préfectorales en vigueur dans le Var (http://www.var.gouv.fr/l-obligation-de-debroussailler-a1217.html).
Les conditions météorologiques n’ayant pas évoluées favorablement, la préfecture du Var indique que le niveau de danger feu des massifs forestiers de la presqu’ile reste en rouge aujourd’hui.
Ce classement en zone rouge indique que le niveau de risque d’incendie est Très sévère et conduit la préfecture à maintenir les interdictions d’accès, de présence et de travaux dans les massifs.
La carte est publiée chaque jour, avant 19h, pour la journée du lendemain. Ouvrez la carte en cliquant sur ce lien.
Pour la première fois cet été, la préfecture du Var qui réglemente la pénétration, la circulation et le stationnement sur certaines voies desservant les massifs forestiers varois indique que le niveau de danger feu des massifs forestiers de la presqu’ile passe en rouge aujourd’hui.
Une carte du risque incendie est ainsi publiée chaque jour, avant 19 heures, pour la journée du lendemain, sur le site Internet de l’État dans le Var, qui renseigne sur le niveau de danger "feu de forêt" massif par massif (http://www.var.gouv.fr/acces-aux-massifs-forestiers-du-var-a2898.html).
Ce dispositif informe les promeneurs sur les possibilités d’accès aux massifs forestiers et sur le niveau de danger feu de forêt. Le classement en zone rouge indique que le niveau de risque est Très sévère ou Extrême conduisant à des interdictions d’accès, de présence et de travaux dans les massifs.
La carte est publiée chaque jour, avant 19h, pour la journée du lendemain. Ouvrez la carte en cliquant sur l’image ci-dessous.
Rappel des consignes:
Il y a un an, en juillet 2019 la France était mise en demeure par la Commission Européenne de mettre fin aux chasses illégales et pour non-respect des espèces protégées. Ce 2 juillet dernier, la sanction est tombée : le gouvernement est dans l’obligation de sanctionner les chasses illégales par piégeages à la glu, tenderie, etc. et la capture de certains oiseaux. S’il ne le fait pas, le gouvernement risque une saisine de la Cour de Justice de l’Union Européenne.
Le 3 septembre dernier, le gouvernement publiait onze arrêtés ministériels fixant les quotas de chasses traditionnelles (glu, matoles, tenderies). Sous couvert de traditions, ils autorisaient pour la campagne de chasse 2019-2020 la capture dans des conditions révoltantes de plus de 150 000 oiseaux sauvages, un chiffre supérieur aux prises de l’an dernier. Ainsi, 42 500 grives et merles noirs pouvaient être piégés à l’aide de gluaux, fins bâtons enduits de glu placés en haut des arbres, dans 5 départements de la région PACA (Alpes Maritimes et de Haute Provence, Vaucluse, Var, Bouches-du-Rhône).
Pourtant ces pratiques sont illégales et interdites par la directive européenne 2009/147, dite « directive oiseaux », qui vise à protéger toutes les espèces d'oiseaux naturellement présentes à l'état sauvage dans l'Union européenne.
C’est une victoire pour la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO ) et une bonne nouvelle pour les espèces protégées.
En effet, le 2 avril 2019, la LPO qui œuvre pour la préservation des espèces avait déposé une plainte pour contraindre la France à mettre un terme à la chasse aux oiseaux protégés. La Commission Européenne a donc tranché en sa faveur : la France a trois mois pour se mettre en conformité avec le droit européen. Si des mesures ne sont pas prises, alors la France devra payer des amendes pouvant atteindre plusieurs dizaines de milliers d’euros par jour de retard.
La Commission Européenne dénonce notamment le fait que parmi les soixante-quatre espèces d’oiseau pouvant aujourd’hui être chassées en France, seules vingt présentent un bon état de conservation.
La France est aujourd’hui le pays qui respecte le moins les espèces protégées au sein de l’Union Européenne.
La Fête de la mer et des littoraux initiée en 2019 par Mme Sophie Panonacle, députée du Bassin d’Arcachon, a pour objectif de favoriser la découverte, la protection et la valorisation de notre patrimoine marin et littoral.
Ce vendredi, un nettoyage de la plage de Sainte-Asile a donc été organisé sous la houlette de Mme Catherine Defaux, auxquels les membres de l’APE et les Mandréens avaient été conviés. Une fois de plus, la collecte de plastique sous toutes ses formes, cannettes aluminium et verre, papier et mégots a été malheureusement « fructueuse ».
C’est en effet à la source que l’action doit être menée en priorité pour minimiser l’échouage de ces déchets sur nos littoraux. Aussi, la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire voté en décembre dernier requiert à terme la mise en place d’une consigne pour recyclage des bouteilles en plastique. Les communes et intercommunalités devront faire la preuve de l’efficacité de leurs dispositifs de recyclage avec un objectif de collecte pour le recyclage des bouteilles de 77 % en 2025 et de 90 % en 2029. Par ailleurs, le nombre de bouteilles plastiques à usage unique pour boisson mises sur le marché devra être réduit de moitié d’ici à 2030.
C’était la deuxième tentative d’envol et c’était la bonne : le goéland qui a été trouvé le 24 mai dernier l’aile fracturée s’est envolé ce matin pour continuer sa vie d’oiseau libre (voir notre précédent article).
Après 6 semaines de soins, les os de son aile cassée étaient donc bien resoudés. Sans hésiter, il a pris son envol du bateau de ses soigneurs devant la plage de la Vieille. Après un demi-cercle dans le ciel il a filé à grands coups d’ailes, direction le Cap Cépet.
Il y a 10 jours un premier essai n’avait pas été concluant. Par manque de force sans doute, ce goéland n’avait pas réussi à s’envoler malgré de nombreuses tentatives. Epuisé, nous l’avions récupéré pour l’installer dans une volière plus grande où il s’est entrainé à battre des ailes.
Encore un grand merci à Antoine, Jean-Pierre, Hélène, Monique et Pierre qui l’ont trouvé, soigné et nourri quotidiennement.
Bon vol à tous
Ce mardi 30 juin, la Mélia, vedette du Centre National d’Instruction de la Gendarmerie Maritime (CNIGM) de Toulon, a connu un début d’incendie alors qu’il naviguait en rade de Toulon. "La Mélia a été victime d'un dégagement de fumée à 16h15 alors qu'elle était en grande rade pour former des stagiaires au permis d'embarcation. L'équipage a vite maitrisé le sinistre, les marins-pompiers ont poursuivi l'action sur la vedette qui a été remorquée à quai à 17h30. L'incendie n’a fait aucun blessé et que personne n’a été intoxiqué", Explications données par la Gendarmerie maritime (source Mer et Marine).
Plage du Touring : Contamination bactériologique et réensablement
Ce 16 juin, l’Autorité Régionale de Santé (ARS) a mesuré à la plage du Touring club une pollution bactérienne en streptocoques fécaux record atteignant 7 340 germes/L, accompagnée d’une pollution par Escherichia coli atteignant 1750 germes/L (voir cette page de l'ARS). Ces résultats sont classés par l’ARS comme « mauvais » puisqu’ils sont près du double de la valeur limite moyen/mauvais de 3 700 streptocoques fécaux/L. Ce seuil déclenche la promulgation d’un arrêté municipal d’interdiction de baignade.
Une baignade interdite pas respectée, et si la qualité bactériologique de l’eau est mauvaise, quelle est celle du sable qu’elle baigne ?
Comparée aux années précédentes, ce début de surveillance montre une contamination bactérienne dès le premier prélèvement réglementaire réalisée le 26 mai dernier, un record de précocité également !
Cette plage est l’objet de contaminations régulières, les raisons données « Episodes orageux ». Il faut dire que comme toute les plages de la presqu’ile, un tuyau d’évacuation des eaux pluviales, débouche directement sur la plage. Pour autant, il n’y a pas eu « d’épisode orageux » le 15 ou le 16 juin de cette année qui pourrait expliquer cette contamination record. Mais alors d’où vient-elle ?
Le lendemain, le 17 juin, les plages de la commune faisaient l’objet d’un réensablement avec du sable de carrière. L’APE a demandé l’arrêt de ces réensablements qui sont un non-sens écologique, une pratique archaïque, mais aussi une gabegie financière puisque ce sable va se disperser en mer, sur les routes jusque dans les propriétés riveraines (lien vers notre dossier Sainte-Asile).
La mairie de la Seyne-sur-mer déplore également une pollution bactérienne à Mar Vivo, la troisième depuis début juin, alors que TPM réensable la plage des Sablettes…
L’argent dépensé pour ces réensablements ne serait-il pas mieux utilisé pour éliminer les sources des pollutions des plages de la commune, dont celle de Sainte-Asile qui a perdu le pavillon bleu précisément pour cause de pollution ?
Le monde de demain ? on vous le dit : Le même que celui d’hier mais avec un masque !
Les ambitions des États en matière de transition énergétique ne sont pas à la hauteur de l’Accord de Paris, alerte un rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) intitulé « Situation mondiale des énergies renouvelables 2020 ».
Les prévisions de ce rapport montrent qu’il faudrait multiplier au moins par trois les efforts entrepris. « Afin d’être en bonne voie pour limiter sous les 2 °C la hausse des températures dans le monde, conformément à l’Accord de Paris, il faudrait ajouter environ 3 000 gigawatts (GW) de capacités renouvelables d’ici 2030 », soulignent le rapport.
Pourtant, la baisse des coûts des énergies renouvelables offre l’opportunité de stimuler l'action en faveur du climat dans les plans de relance économique post-COVID-19. En effet :
- La capacité installée en énergies renouvelables a augmenté de 184 gigawatts (GW) en 2019, un bond de 20 GW par rapport aux 164 GW ajoutés en 2018 (1 GW est équivalent à la puissance générée par 110 million de diodes électroluminescentes) ;
- Cette nouvelle capacité a été installée avec un niveau investissement à 282,2 milliards USD presque équivalent à celui de 2018 – ce qui illustre la baisse des coûts ;
- Mais, ce sont 826 GW de nouvelles énergies renouvelables non hydroélectriques annoncés d'ici 2030, pour un coût d'environ 1 milliard de US dollars. Pour limiter le réchauffement climatique planétaire à moins de 2 degrés Celsius - l'objectif principal de l'Accord de Paris - il faudrait ajouter environ 3 000 GW d'ici 2030. C'est donc bien inférieur aux 1 200 GW ajoutés au cours de la dernière décennie et loin des 2 200 GW supplémentaires pour mettre en œuvre l'Accord de Paris !
Le rapport cependant montre que le coût d'installation des énergies renouvelables baisse au cours du temps, ce qui signifie que les futurs investissements, à montant égal, financeront beaucoup plus d’installations de production d’énergies renouvelables.
En effet, le coût de l'électricité continue de baisser pour l'éolien et le solaire, grâce aux améliorations technologiques, aux économies d'échelle et à une concurrence féroce lors des mises aux enchères. Les coûts de l'électricité issue des nouvelles fermes solaires photovoltaïques au deuxième semestre 2019 étaient inférieurs de 83% à ceux dix ans auparavant.
Alors que la COVID-19 frappe l'industrie des combustibles fossiles, ce nouveau rapport détaille le « fossé énorme » entre les ambitions des différents pays du monde et les exigences en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre mais il montre aussi que les énergies renouvelables sont plus rentables que jamais, offrant une opportunité pour les gouvernements de prioriser l'énergie propre dans les plans de relance économique afin de se rapprocher des objectifs de l'Accord de Paris.
- 8 juin 2020 : Les Nations Unies célèbrent la Journée mondiale des océans
- Le monde de demain ? Le même que celui d’hier mais avec un masque : Deux nouveaux goélands blessés recueillis à Pin Rolland et au village
- 21 mai 2020 : Le monde de demain ? Le même que celui d’hier mais avec un masque et ce doublement ! A chaque jour son ferry…
- 20 mai 2020 : Journée mondiale des abeilles