29 mai 2023: Les poubelles débordent à Sainte-Asile
Saint-Mandrier, presqu'île de charme, son béton et ses poubelles qui débordent une fois de plus sur la promenade Sainte-Asile. L'anticipation n'est pas de mise à la mairie avec ce beau week-end de 3 jours ... Quel constraste avec la fête de la Nature qui se termine aujourd'hui !
24 mai 2023 : C’est aujourd’hui la Fête de la Nature
La Fête de la Nature se déroule chaque année au mois de mai, à une date la plus proche du 22 mai, date de la journée internationale de la biodiversité. Cette année, elle se déroulera du 24 au 27 mai, c’est donc l’occasion de célébrer la nature tous ensemble dans les sites encore préservés de l’artificialisation et u bétonnage par les défenseurs de l’environnement.
La Fête de la Nature a été créée en France en 2007 sur une idée du Comité Français de l’Union Internationale de Conservation de la Nature et du magazine Terre Sauvage. A cette occasion, des milliers de manifestations sont organisées par les associations de conservation et d’éducation à la nature, les collectivités locales, les établissements scolaires, les entreprises, les particuliers… sur tout le territoire français, en métropole et en Outre-mer, dans les villes comme à la campagne.
Pour trouverez ICI les activités proposées dans notre région et ailleurs. Bonne fête de la Nature !
A cette occasion, si vous vous promenez vers la Renardière ou dans votre jardin, vous observerez peut-être des fourmis à tête rouge que Shannon a récemment photographiées. Les ouvrières de cette espèce de fourmi sont de petite taille, entre 3 et 5 mm et sont faciles à reconnaître avec leur tête et l’avant du thorax rouge ou brun rouge. L'abdomen est aussi très caractéristique, il est large, aplati et pointu, en forme de cœur ou de goutte.
25 mai 2023 : Conférence de François Sarano à la médiathèque de Chalucet
Ce jeudi soir 25 mai était un rendez-vous à ne pas manquer, celui de la Conférence de François Sarano, sur les cachalots, leur singularité individuelle, leur comportement qu’il reste encore à décrypter et les avancés de la science sur leur communication sonore.
Sa passion du vivant dont entre autres celles des cachalots qu’il nous avait présenté dans la cuvée 2020 et 2022 de Passion bleue est communicative et nous pousse au respect de toute vie sur cette planète.
Sa présentation avec de nombreuses explications à partir des enregistrements des vocalises de ces géants des mers, enregistrements dont certains réalisés au large de Toulon restent encore à relier aux différents comportements des cachalots à déclenché une multitude de questions de la part du public.
Plongeur de l’équipe Cousteau, océanologue, défenseur de l’environnement et fondateur de l’association Longitude 181, conférencier, auteur de nombreux ouvrages, François Sarano développe des programmes d’étude et de préservation des grands animaux marins : requins, raies, cachalots… "Ils sont des symboles de la vie sauvage, les meilleurs indicateurs de l’état de santé de l’océan et leur préservation exige celle de l’ensemble des écosystèmes dont ils dépendent." Avec son épouse Véronique ils observent et étudient depuis des année avec passion la vie d’un clan de cachalots au large de l’Île Maurice.
Cette conférence s’inscrit dans le cadre de l’exposition phare pour 2023 « Plongée sonore avec les cétacés » organisée par le Muséum Départemental du Var jusqu’au 12 novembre 2023.
Le Muséum départemental du Var se penche sur les sons du monde sous-marin, imperceptibles pour l’oreille humaine mais représentatifs de la vie au fond des mers. Des photographies grands formats prolongent l’exposition dans le Jardin départemental du Las.
« C’est un voyage hors du commun qui attend les visiteurs, en immersion totale dans les profondeurs abyssales de la Méditerranée. L’exposition se focalise sur les approches innovantes des analyses des sons sous-marins imperceptibles par l'oreille humaine et pourtant si caractéristiques de la vie océanique.
Avec l'aide de Pascale Giraudet et Hervé Glotin, chercheurs précurseurs de la bioacoustique de l’Université de Toulon, il s'agit de découvrir les mystères du langage sonore des cétacés présents au large des côtes varoises. Tendez l’oreille pour explorer clics des cachalots, sifflements des dauphins ou encore chants des baleines afin de donner la parole aux moins audibles et certainement aux plus menacés des habitants de la mer Méditerranée. L’occasion de révéler l’importance de leurs rôles dans les écosystèmes marins présents aux portes du Var, dans un monde obscur et injustement qualifié de silencieux ».
Voir également nos précédents posts:
Samedi 17 juin : Plaidoiries finales du procès simulé: Droits des océans et éolien offshore breton.
Le samedi 17 juin auront lieu les plaidoiries finales du procès-simulé: Droits des océans et éolien offshore breton auquel vous pouvez assister en présentiel ou en ligne.
La quatrième saison du programme Wild Legal aura pour objectif d’incuber l’action juridique visant à condamner l’Etat à abroger le Document stratégique de façade Atlantique Nord Manche Ouest et à suspendre les projets de parcs éoliens offshore non encore attribués par appel d’offres, dans l’attente de la réalisation des études scientifiques nécessaires.
Les reproches portent sur l’incompatibilité de la planification de l’éolien offshore en Bretagne avec les obligations légales de protection de la biodiversité. L’occasion pour le programme Wild Legal d’étudier l’opportunité d’une nouvelle jurisprudence pour les droits de la Nature, à la recherche d’un équilibre viable entre le déploiement des énergies “vertes” et les intérêts et besoins des non-humains.
A vos agenda : Inscrivez-vous ici (en présentiel ou en ligne)
Chaque année, le procès-simulé du programme Wild Legal propose une saison de recherche-action consacrée aux étudiant.es dans une pratique légale ludique, encadrée par une équipe d'experts et ouverte au public.
Inspiré des "Moot Courts" anglo-saxons, le procès-simulé propose ainsi chaque année un procès fictif mêlant concours d'écritures et concours de plaidoiries, afin de soumettre les sujets environnementaux d'actualité aux plumes aiguisées et aux arguments acérés des étudiants juristes de nos universités partenaires. Il sera sanctionné par une remise de prix et soutenu par un système d'aides aux étudiants participants.
A VOS AGENDA - INFORMATIONS PRATIQUES :
- Date et horaires : Samedi 17 juin 2023, à partir de 10h
- Lieu en présentiel : Académie du Climat (2 place Baudoyer – Paris 4e)
- Stations : Hôtel de Ville (lignes 1 et 11) – Saint-Paul (ligne 1) – Pont Marie (ligne 7)
22 mai 1023 : Encore une journée port propre de ratée, ça promet pour cet été
Ce qui est bien avec la physique, c’est qu’a conditions égales, les phénomènes observés se reproduisent à l’identique. Prenons le cas du Valiant Lady de la compagnie Virgin, comme le 8 mai dernier il est arrivé tout panache dehors et a encore gagné le prix citron de l’enfumage de l’air de la rade.
Dès son arrivée, il a laissé son empreinte polluante dans l’atmosphère de la presqu’ile de Saint-Mandrier puis dans celle de la petite rade et à quai au port de Toulon. Au port l’inversion thermique atmosphérique a bloqué les polluants issus des gaz chauds issus des moteurs à l’interface des deux couches d’air. Comme vous le savez ce n’est pas la première fois et ce n’est donc pas la dernière fois comme la CCIV l’a annoncé pour les printemps-étés qui viennent !
Ce matin, dès 8h30 l’atmosphère de l’entrée de la petite rade était enfumée par les rejets des gaz d’échappement des moteurs du Valiant Lady de la compagnie Virgin qui se sont dispersés ensuite dans l’atmosphère du littoral (Photographies du Valiant Lady le 22 mai 2023 entre 8h50 et 8h30). Les polluants rejetés ont rejoint la pollution résiduelle stagnant sur la métropole toulonnaise. Après le passage du Valiant Lady, un nuage stagnait au niveau des collines du village de Saint-Mandrier (Photographie du 22 mai 2023 à 8h37).
Arrivé à quai à Toulon, sous l’effet de la chaleur des gaz rejetés le panache s’est élevé verticalement au-dessus de la ville se dirigeant et se dispersant ensuite dans l’atmosphère des quartiers Est de la Métropole en direction de la Seyne (Photographies du Valiant Lady le 22 mai 2023 entre 8h45 et 10h30).
Vers 9h54, sur fond de panache du Valiant Lady, le sous-marin nucléaire d’attaque Le Perle quittait l’atmosphère pollué de la rade (Photographie du 220523 à 9h00), suivi du Corsica Marina Seconda de la Corsica Ferries qui lui, à propulsion thermique au fuel lourd, rajoutait les polluants de son panache bien noir (Photographie du Corsica Marina Seconda du 22 mai à 18h58 et 11h04), juste avant que ceux du panache du Pascal Lota ne se dispersent à leur tour dans l’atmosphère de la rade (Photographies du Pascal Lota le 22 mai 2023 à 11h41). Le panache du MSC Magnificat entrant dans la rade pour aller à quai à la Seyne sur mer faisait alors, bien que, pale figure à côté des précédents (Photographie du MSC Magnificat le 22 mai 2023 à 12h04) …
Les résultats de mesure enregistrés ce matin 22 mai 2023 par les équipements de la station Atmosud de Toulon montrent des valeurs maximales de 63,0 et 69,7 µg/m3 pour le dioxyde d’azote (NO2) respectivement à 8h15 et 10h45 ainsi qu’un pic de microparticules de diamètres inférieurs à 2,5 micromètres atteignant 29,1 µg/m3 entre 10h et 11h.
Les résultats de mesure enregistrés ce même matin avec 2 capteurs citoyens, l'un implanté à Toulon (nebuleair-015) l'autre implanté à Saint Mandrier (nebuleair-018) montrent également une augmentation significative de la pollution. Voir à ce sujet cet article Var Matin.
Un drone a-t-il fait des mesures des polluants comme le dioxyde de soufre pour rassurer les habitants de la métropole, des mesures ont-elles été réalisées pour quantifier la pollution des eaux marines de surface dans le cadre du fameux Contrat de baie ?
Pour rappel les seuils de référence recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2021 pour NO2 sont 25 µg/m3 et 10 µg/m3 respectivement pour 24 heures et sur l’année et pour les PM2.5 de 15 µg/m3 et de 5 µg/m3 respectivement pour 24 heures et sur l’année.
Pour en savoir plus :
- L'insoutenable pollution de l'air du transport maritime
- Fourth Annual Report from the European Commission on CO2 Emissions from Maritime Transport (period 2018-2021) publié le 13 mars 2023
23 mai 2023 : Pesticides dans l'arboriculture - France Nature Environnement et Générations futures saisissent la justice
Alors que l’érosion de la biodiversité des insectes menace directement le maintien des équilibres biologiques, les agents de l’Office français de la biodiversité ont été priés, à la demande du ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, de ne pas contrôler les périodes de pulvérisation de pesticides par les arboriculteurs.
Ces périodes sont pourtant définies par la réglementation et indispensables pour protéger les abeilles et autres insectes pollinisateurs en période de floraison.
France Nature Environnement et Générations Futures saisissent la justice pour rappeler que nul n’est au-dessus des lois : la police de l’environnement et les magistrat·es doivent pouvoir faire leur travail.
Au-delà, France Nature Environnement et Générations Futures demandent à ce que des moyens dignes soient alloués à la police de l’environnement et à l’institution judiciaire afin qu’elles puissent fonctionner convenablement et traiter les atteintes à l’environnement de manière égale sur l’ensemble du territoire.
Pour en savoir plus
- Protection des pollinisateurs vis-à-vis des pesticides en période de floraison
18 mai 2023 : Il pleut, les escargots sont de sortie !
La pluie est enfin tombée sur la presqu’ile (si, si c’est vrai pour ceux qui sont partis en balade) déclenchant le réveil des escargots et autres limaces qui se sont rués sur les débris au sol et la végétation. Ils s'alimentent grâce à une langue (radula) couverte d'aspérités très dures (de 1 500 à 2 500 dents), disposées en rangées régulières comme une râpe de menuisier.
Un moment de plus en plus rare avec cette sécheresse persistante pour observer les balades de ces mollusques terrestres. Ils sont partis à l’aventure quittant leurs abris où ils se protègent de la déshydratation : planches en bois, tuiles, murets, mousse, grandes feuilles, fruits à terre, morceaux de carton humide, etc.
Des individus d’escargots petit-gris (Cornu aspersum) et d’autres espèces sont de sortie, protégés du soleil sous le ciel nuageux. Ils sont visibles sur le sol mais aussi sur les plantes jusqu’assez haut dans les branches des arbres pour trouver leur nourriture. Ce sont de véritables acrobates capables de positions incroyables mais efficaces pour atteindre les feuilles les plus tendres et les délicieux pétales de fleurs.
C’est l’occasion de participer à «l’opération escargots » organisée pour les propriétaires ou locataires de jardins par le Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), l’association Noé et l’Office français de la biodiversité.
Pour participer à ce programme de science participative citoyenne, il suffit de poser un abri dans son jardin, coupelle de terre cuite ou éventuellement planche de bois — mais attention l’essence de bois peut avoir des effets sur les espèces récoltées. Puis, un mois plus tard, de le retourner pour compter et photographier les escargots et les limaces qui s’y seront réfugiés. Les données et les images sont à saisir sur la plateforme « qualité biologique des sols ». La participation est ouverte à tous et ce tout au long de l’année.
Sur les 691 espèces indigènes identifiées en France, 40 % des espèces sont mal documentées, ce qui a conduit à leur classement dans la catégorie « données insuffisantes ». Le suivi au cours du temps de l’évolution de ces mollusques terrestres est indispensable pour prendre d’éventuelles mesures de préservation sachant qu’une centaine d’espèces sont considérées comme quasi-menacées ou menacées de disparition, et sont donc des espèces à fort enjeux de conservation (deux espèces ont déjà disparu). Ces dernières espèces sont aujourd’hui en péril à cause de la disparition de leurs habitats (urbanisation, exploitation forestière, surpâturage, sur-fréquentation touristique), des pollutions (agriculture, eaux usées), de la compétition des espèces invasives, des incendies et du changement climatique (sécheresse).
L’APE vous engage à participer à cette opération citoyenne, déjà menée de 2009 à 2020, car votre concours aidera les scientifiques à améliorer les connaissances sur la répartition de ces gastéropodes et sur l’évolution de la biodiversité de la presqu’ile.
28 avril 2023 : Propriété Fliche-Bergis : le juge administratif gèle le permis de construire
Saisi en référé par l’APE, le Tribunal administratif de Toulon a publié son jugement le 28 avril dernier ordonnant la suspension de l’exécution du permis de construire délivré par M. le Maire le 11 octobre 2022 et a condamné la commune de Saint Mandrier à verser la somme de 960 € à l’APE pour ses frais d’avocat.
Le juge a estimé que les moyens soulevés par l’APE étaient de nature à créer un doute sérieux quant à la légalité du permis de construire accordé.
Vous le savez, l’APE est mobilisée depuis des années, jusque devant les tribunaux, pour protéger de l’urbanisation les sites naturels relevant de la loi littoral et les espaces remarquables comme c’est le cas du vallon de Cavalas, des boisements et de l’arrière plage de la Coudoulière, des anciennes propriétés de l’Ermitage et de Sainte-Asile.
Concernant la propriété Fliche-Bergis à Sainte-Asile, cela fait plus de 20 ans que l’APE se bat pour faire reconnaître et maintenir son caractère patrimonial et pour sa préservation de l’urbanisation. Ainsi, depuis 2001, l’association a dû saisir la Justice à plusieurs reprises suite à des autorisations de permis de construire illégaux. A chaque fois, le Tribunal a rappelé l’inconstructibilité du site au titre de la loi littoral. Ainsi, l’APE a fait annuler par les tribunaux successivement :
- les zonages des règlements d’urbanisme votés par la commune suite aux votes du POS, du PLU de 2007 et du PLU de 2017 qui classaient ce site en zone urbanisable. (Jugements de 2003, 2010, 2019) ;
- le permis de construire et le permis d’aménager accordés par M. le Maire en 2009 et 2010 pour des immeubles de 36 logements et pour un lotissement de 18 villas.
Estimant que le nouveau permis de construire de 2022, lui non plus, ne répondait pas aux critères de la loi littoral, l’APE a déposé auprès de M. le Maire un recours gracieux en annulation. En effet, par exemple, la surface des extensions prévues dans ce permis correspond au double de celle susceptible d’être autorisée. M. le maire ayant rejeté le recours gracieux de l’APE, le 16 février 2023, l’APE a déposé un recours contentieux devant le tribunal administratif de Toulon. Ce recours contentieux est en attente de jugement.
Cependant, sans attendre la promulgation de ce jugement, le débat d’orientations budgétaires 2023, puis le vote du budget de la commune lors du conseil municipal du 6 avril 2023 ont validé l’exécution des travaux de réhabilitation de la propriété avec une première enveloppe de plus de 1,5 M€ de travaux pour 2023.
Aussi, plus que jamais décidé à protéger l’espace remarquable du site de toutes atteintes irrémédiables, l’APE a donc introduit un référé-suspension auprès du juge des référés du tribunal administratif de Toulon demandant l’arrêt de tous travaux dans l’attente du jugement sur le recours en annulation du permis de construire. Et en effet, le juge a donné raison à l’APE, estimant que les moyens soulevés par l’APE étaient de nature à créer un doute sérieux quant à la légalité du permis de construire accordé.
Pour autant et répétons-le encore une fois (lien vers le texte du droit de réponse suite au Mandréen de février 2021), l’APE est évidemment plus que favorable à la réhabilitation des bâtiments de la propriété Fliche-Bergis à l’abandon depuis des années, et à la mise en valeur de ce site patrimonial, à plus forte raison s’il est prévu en faveur des enfants, de la culture, voire de la santé. Mais ces aménagements doivent être faits dans le respect de la préservation du site telle que prévue par la loi littoral. C’est tout le sens du combat de l’APE depuis des années, sur ce site comme auparavant sur celui de l’Ermitage et ce pour le bien de toutes et tous.
Pour plus d'informations, consultez ce précédent post mis en ligne en 2020.
27-28 mai 2023 : LPO et Muséum national d'Histoire naturelle organisent un comptage national des oiseaux des jardins
Comptez les oiseaux de votre jardin et apprenez à les identifier. Vous contribuerez ainsi à un projet scientifique mené par la LPO et le Muséum national d’Histoire naturelle.
Comme chaque année, l’APE vous engage à participer à ce projet. Débutants ou professionnels, à la ville ou à la campagne, les citoyens sont invités à compter durant 1h les oiseaux posés dans leur jardin, sur leur balcon ou dans un jardin public. Pour chaque espèce identifiée, il faut compter le nombre d’individus présents (pour éviter le doublon, ne conserver que le nombre maximum d’oiseaux de la même espèce vus en même temps) et enregistrer les données sur le site de l’Observatoire des oiseaux des jardins. Des documents pour aider les participants à identifier les oiseaux y sont disponibles. Alors, vous êtes fin prêt, n'hésitez plus, comptez ?
Pour participer, rendez-vous sur l’observatoire des oiseaux : ICI.
Cet évènement, lancé par l’Observatoire des oiseaux des jardins, permet d’avoir un suivi annuel des oiseaux qui viennent fréquenter les jardins en cette période de reproduction et sensibilise les citoyens à l’importance et à la préservation de cette biodiversité de proximité.
Photos : Pour vous encourager et vous préparer à participer à ces deux journées, en ce moment sur la presqu’ile les mésanges huppées construisent leurs nids, les fauvettes à tête noire et les pinsons sont très présents dans les pins à la recherche d’insectes.
Participez à la troisième édition du concours Photo d’Oiseau de l’année 2023 organisée par la LPO !
Photographe amateur ou professionnel, vous avez jusqu'au 1er août pour participer au concours de la photo d'oiseau de l'année en proposant votre plus beau cliché ornithologique, qui devra avoir été réalisé entre le 1er août 2022 et le 31 juillet 2023 sur le territoire français (outremer compris).
Qui succédera à Quentin Gama et son Héron pourpré et à Yohan Berry et ses hiboux grand-duc ? Vous étiez 850 à tenter votre chance l'an dernier. Record à battre !
Voir les résultats de l'édition 2022
Lancé en 2021 en partenariat avec l'association de photographes naturalistes Camera Natura. La Photo d’oiseau de l’année, rompant avec l’esprit de compétition, privilégie l’engagement des auteurs dans une pratique éthique de la photographie et la défense de la biodiversité.