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26 juin 20225 : Des Bombyx disparate en grand nombre

Vous les avez surement remarqués depuis quelques jours, des adultes du papillon Bombix dispar (Lymantria dispar) sont apparues en grand nombre voletant dans la nuit.

Il y a 6 ans, en 2019, nous avions déjà signalé leur présence en grand nombre sur la presqu’ile. Et justement, les cycles de pullulation durent de deux à quatre ans, avec une période de latence de six à douze ans entre chaque cycle.

Ce bombix est une espèce de lépidoptères de l'hémisphère nord, à activité nocturne, de la famille des Erebidae, l’une des familles de papillons de nuit qui présente le plus grand nombre d'espèces.

Cet insecte est un ravageur des forêts de feuillus, en particulier les chênaies, dont les chenilles dévorent toutes les feuilles des arbres. En ce même moment des populations très importantes dévastent les forêts corses. et celles plus près de la Mole et de Bormes-les-Mimosas au niveau du littoral du massif des Maures. 

zBombix antennes 02402444

Le mâle est reconnaissable à des antennes en forme de « plumes » et des ailes brunes ornées de lignes foncées. La femelle a un corps velu blanc, crème ou jaunâtre plus grand, des antennes fines et des ailes blanches ornées de motifs foncés.

Comme nous l’indiquions en 2019, aucun traitement contre ce Bombix n’est vraiment efficace en zone forestière. En revanche, les Calosomes (par exemple Calosoma sycophanta), coléoptère de la famille des Carabidés sont de redoutables prédateurs des chenilles, de même que les oiseaux. Ce sont de précieux auxiliaires pour limiter la prolifération des Bombix.

Il est toujours préférable de laisser réagir le milieu naturel et de le perturber le moins possible durant cette phase épidémique afin d’éviter de perturber les cycles biologiques et la biodiversité, déjà bien mal en point. Localement, on peut agir en éliminant les pontes en grattant les amas d’œufs des troncs des arbres.

21 juin 2025 : Premières chaleurs estivales et floraison éclatante des cactus

Alors que les journées s’allongent et que la chaleur explose, un spectacle discret mais saisissant se déploie sous nos yeux : la floraison des cactus. Ces plantes souvent perçues comme austères se parent soudain de couleurs vives, dévoilant des fleurs aussi surprenantes qu’éphémères. Jaunes éclatants, fuchsias profonds ou blancs nacrés… chaque variété a sa propre manière de célébrer l’arrivée de la saison chaude.

z01 Cactès 02400415 z01b Cactès 02404750 z02 Cactès 02400344

z03 Cactès 02400346 z04 Cactès IMG 20250620 102128 z05 Cactès 02402237

z07 Cactès 02405382 z08 Cactès 02405303 z09 Cactès Cigale 02400472

La cigale « Même pas peur… »

C’est un moment à la fois poétique et symbolique : dans cet univers aride, la vie explose en silence. Une leçon de résilience et de beauté inattendue qui invite à ralentir, observer, et apprécier la magie discrète de la nature.

11 juin 2025 : la pleine Lune "des fraises" portait bien son nom

La nuit dernière, la pleine Lune était bien visible dans le ciel dégagé de tout nuage de la presqu’île bien qu’un peu brumeux il est vrai.

Dernière pleine lune avant le début de l'été, la Nasa a retenu le surnom de pleine Lune "des fraises" puisque nous sommes à la période où les fraises sauvages et autres fruits rouges commencent à mûrir.

zxLune des fraises

La pleine lune a conservé une belle couleur tirant sur le rouge car à l'approche du solstice d'été elle est restée exceptionnellement basse sur l'horizon. Habituellement elle est colorée uniquement au moment où elle sort au-dessus de l'horizon car la lumière solaire qui l’éclaire traverse alors une couche atmosphérique épaisse qui filtre les longueurs d’onde et lui donne cette couleur.

Si vous avez raté le spectacle, vous pourrez encore admirer ce soir, même si la Lune ne sera plus vraiment pleine !

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4 août 2010: Permis d'aménager la propriété Fliche

Un permis d'aménager a été déposé pour le terrain: la prairie disparait complétement au profit du béton.

 

2010amenagement

L'APE a pris la décision d'attaquer ce nouveau permis. La sauvegarde de la coupure verte et du glaieul douteux, plante protégée au niveau national, est en jeu. Mandréens, soutenez l'action de l'APE contre le béton.

Droit de réponse sur la Coudoulière

Droit de réponse demandé à Monsieur le Maire concernant l'article paru dans le mandréen n°146 de mars 2010.
Octobre 2010, l'APE déplore que ce droit de réponse n'a toujours pas été publié, les mandréens jugeront  !

Jugement du 3 mars 2005

La procédure a été initiée par le Préfet du Var contre la commune de Saint Mandrier devant le Tribunal administratif de Nice.

Le jugement rendu le 3 mars 2005 a donné raison au Préfet du Var et à l'APE intervenante sur le dossier. La commune est condamnée à reprendre les enrochements litigieux pour les positionner en dehors des limites de la concession de la plage naturelle.

Marinière: Comparaison des projets

Ci-après, la comparaison en terme de surface construite pour l'ancien projet de 2000, refusé par les mandréens, et le nouveau projet pharaonique présenté en 2009:

 Composition:

  • 101 appartements T3
  • 62 appartements T2
  • 0 chambres d'hôtel

 

Description 1er projet

Ce premier projet a été rejeté par les mandréens.

Ce projet comprenait:
  • Environ 128 places de parking: 75 en surface et 53 sous dalle
  • Nombre d'hébergements proposés: 122 environ
  • Hauteur des bâtiments à l'égout du toit: 12 m environ
  • Surface Hors Œuvre Nette de plancher (SHON): 6000 m² environ
  • C.O.S. moyen : 0.42
  • Pinède aménagée hors parking: 2700 m² environ, soit 18% de la superficie de l'opération
  • Équipements de loisirs, terrasse, piscine et club nautique: 2650 m² environ, soit 17% de la superficie de l'opération
  • Club loisir: 150 m² SHON
  • Emplois créés: 10 à 12 équivalents temps plein sur l'année soit environ 15 à 20 emplois en saison et 5 emplois hors saison

Concertation publique de février 2000

Appel du jugement du 4 février 2010

L'APE fait appel du jugement du 4 février 2010 concernant la plage de la Coudoulière.

L'APE s'oppose à ce que les enrochements, bétonnés ou non, soient remis sur la plage. La nature finit toujours par reprendre sa place, et les actions successives de la municipalité n'ont fait que dégrader davantage la situation, au détriment du contribuable mandréen et de l'environnement. L'état actuel de la plage le démontre chaque jour.

Jugement du 4 février 2010

Le tribunal administratif de Toulon a rendu son jugement sur la plage de la Coudoulière.

Projet du conservatoire du littoral

Le projet d'aménagement et de gestion du site de la Coudoulière de septembre 2008 a été mis en ligne par la municipalité.

Ce projet a été élaboré par le conservatoire du littoral, il présente l'aménagement du domaine de l'ermitage, propriété "Juvénal", et la reconstruction du littoral.

Mars 2005: lettre du PLU n°1

En 2005, la municipalité publie la première lettre sur le PLU avec en 4ème page, les orientations sur le secteur de la Coudoulière:

Sur la moitié nord de la propriété Juvénal, étaient prévus initialement des logements, des activités hôtelières et para hôtelières et un hameau de petites villas regroupées dans un parc.

13 octobre 2004: l'urgence de construire

Var Matin, édition du 13 octobre 2004: La propriété Juvénal est l'un des sites à enjeux recensés par la municipalité pour la construction de logements neufs. Heureusement, l'APE était là.

6 novembre 1998: hébergement médico-social sur le site

En novembre 1998, la municipalité envisageait de mêler habitat avec de l'hébergement socio-médical sur la propriété Juvénal. Heureusement, l'APE était là.

 

Fiasco aménagements

Le fiasco des « aménagements » de la plage naturelle de la Coudoulière (Remarques sur l’article en page 2 du Mandréen n° 134 ). Article du bulletin n°91.

Les citations du Mandréen sont en italiques.


« Il aura fallu un peu moins de 3 ans et une dernière tempête pour que la mer emporte le talus d’arrière plage et le sentier des douaniers… »

►FAUX : c’est dès 1972 lors du déversement des premiers remblais sur la plage, puis dès 2001 quand la Commune a voulu les renforcer par un enrochement, que la mer, chaque année, a attaqué ces aménagements. Car ce n’est pas le « sentier des douaniers » (dont tous les mandréens savent qu’il passe plus haut sur la Corniche d’Or, au travers de servitudes créées à cet effet) ni le talus naturel d’arrière plage, qui sont attaqués par la mer depuis des années, mais le talus artificiel en remblais et enrochements construit par la Commune sur la grève de la plage naturelle.


« Cet assaut dévastateur n’aurait pas eu lieu si les rochers qui protégeaient le talus n’avaient pas été enlevés »

►FAUX : tout le monde a pu constater chaque hiver et dès la construction de l’enrochement en 2001, que les blocs rocheux eux-mêmes étaient déstabilisés et écroulés par la mer, particulièrement aux extrémités de plage où le remblai est le plus important. La Commune a été obligée chaque fois de les remettre en place (janv. 01, déc. 02, janv. 03) jusqu’à ce que la Préfecture y mette un terme et la condamne au contraire à les enlever (mai 05).
Et tout le monde a bien vu que même le talus encore enroché s’est également écroulé cet hiver et que la Commune a été obligée de le réparer encore une fois ce mois de juin.
En effet, comme le confirme l’étude réalisée pour le Conservatoire du Littoral, ces aménagements (remblais enrochés ou non) sont construits trop près de la ligne du rivage et ne permettent plus à la plage d’amortir les houles : ils rompent l’équilibre de la plage naturelle et sont donc voués à être bousculés par la mer, la plage tendant à reprendre sa place. C’est la simple loi de la nature qui s’applique (à défaut des lois républicaines).

« … la Commune a dû enlever cet enrochement suite à une décision du Tribunal… faisant suite à une plainte déposée par une association de protection de l’environnement de la Presqu’île »

►FAUX : c’est le Préfet du Var qui a saisi le Tribunal administratif de Nice (note 1) et fait condamner la Commune à enlever les enrochements hors de la concession de plage, car ils ont été construits en infraction avec cette concession et le Code de l’Etat.

« …l’enrochement incriminé dépassait de 50 cm… »

►FAUX : le procès verbal de contravention de la Préfecture fait état de 1,50 m pour les derniers travaux d’enrochements de 2003. Tandis que si l’on compare les superficies de plage concédée au titre des concessions 2000 (avant enrochement) et 2005 (après enrochement), la perte de plage utilisable due aux remblais s’élève à 2500 m² (sur 5100 m²), dont 1200 m² d’enrochements avec une emprise sur la plage de 3,60 m (Chiffres des cahiers des charges des concessions de plage et d’arrière plage).

« Depuis, la Commune a exécuté la condamnation du Tribunal »

►FAUX : la Commune n’a enlevé les enrochements qu’aux seules extrémités de plage, et seulement en partie car elle y a laissé en place les blocs de la base avec le scellement en béton, qu’elle a simplement recouverts d’un remblai terreux instable. Des travaux totalement irresponsables car bien évidemment, ces remblais ont très rapidement été emportés à la mer par les intempéries, au détriment des posidonies présentes près du rivage et de la sécurité des usagers.

« (La Commune) s’est engagée à se mettre en conformité avec la législation … deux nouvelles concessions « de plage » et « d’arrière plage » ont été mises en place (note 2)».

►VRAI et ►FAUX : car ces nouvelles concessions ont consisté à modifier les limites de la concession de plage (où ces aménagements sont interdits) pour en exclure les enrochements et les inclure dans une concession d’arrière plage (où le cahier des charges les autorise) . Ainsi, la Commune ne se met pas en conformité avec la législation qui interdit ces constructions sur la plage…mais tente de légaliser ses infractions par une « régularisation » administrative.

« En attendant, le sentier du littoral est parti à la mer »

►FAUX : ce n’est pas le sentier du littoral qui est parti à la mer, mais le talus artificiel. Comme partout dans le Var et sur la côte, le sentier littoral traverse parfois les plages : il y chemine naturellement et ne nécessite nullement la construction d’un endigage enroché, au détriment de la plage elle-même. A la Coudoulière, le sentier littoral n’emprunte vraiment la plage que sur ¼ de sa longueur. Cette portion peut être facilement contournée par la Corniche d’Or et le chemin des douaniers : le sentier du littoral n’est donc qu’un alibi pour le maintien d’aménagements que rien ne justifie.

« Aussi avons-nous pris la décision de remettre un enrochement…dans le strict respect de la législation et de la technique développée par le bureau d’étude »

►FAUX : si les nouvelles concessions rendent possibles ce ré-enrochement, il reste illégal au regard de la loi Littoral qui protège les plages naturelles et les sites remarquables.
Quant à la technique développée par le bureau d’étude (note 3), elle est édifiante : pour résister à la mer, il faudrait construire une véritable digue, rognant sur le talus pour lui donner une pente suffisante. L’étude conclut : « vu la pente de l’ouvrage, cette digue pourrait présenter des risques pour la sécurité de toute personne circulant dessus» .

 

Une plage naturelle est une position d’équilibre entre l’action de la mer et le relief de la côte : elle présente une pente plus ou moins accentuée qui amortit l’impact des houles d’hiver et assure sa pérennité. La plage naturelle de la Coudoulière existe depuis des siècles, mais les enrochements construits sur la grève, trop près du rivage, perturbent cet équilibre : la mer bute et creuse le pied de l’endigage, la plage recule et se modifie. C’est pourquoi le Conservatoire du Littoral a préconisé, pour la portion de plage mitoyenne de sa propriété, de redonner sa place à la plage par un retour au talus naturel, avec une protection en végétation.

Nous espérons vivement que la Commune saura prendre en compte ces éléments et renoncer à engager des travaux de ré-enrochement coûteux, à court comme à long terme, qui ne pourront se faire qu’au détriment de la plage, en dénaturant le rivage d’un des sites remarquables parmi les plus emblématiques de la Presqu’île.
Quoiqu’il en soit, en aucun cas la Commune ne peut rendre l’A.P.E. responsable des conséquences de ses propres décisions, qu’elles soient passées ou à venir.
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1) Déféré préfectoral du 04/08/03.
2) Ce sont ces nouvelles concessions que l’APE a attaquées devant le T.A. et pour l’annulation desquelles nous attendons un jugement.
3) Etude de la Société Océanide, jointe au dossier d’enquête publique de la concession d’arrière-plage.

21 octobre 2009

L'APE dépose un recours sur l'arrêté du maire autorisant le Permis de Construire à coté de la maison "Fliche"

Ci-après, une vue aérienne (géoportail) du terrain concerné, entre la maison "Fliche" et le camping:

et 2 vues de la zone:

 

 Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de la suite donnée à ce recours.

  1. Historique
  2. Coudoulière : Enquête Publique mars 2007

Vallon / plage de Cavalas

Fliche

La Marinière

Domaine de l'Hermitage -ex propriété Juvénal

Plage de la Coudoulière

Procédures Coudoulière

Dépot d'hydrocarbures du Lazaret

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Depuis 1983, notre association est chaque jour sur le terrain pour gagner de précieuses victoires pour l’environnement, pour la presqu’ile. Notre indépendance est le gage de notre liberté de parole et d'action, en tous lieux et en toutes circonstances. Garantissez notre indépendance et gagnez les victoires de demain avec nous ! Adhérez et Faites un don !

Association pour la Protection de l'Environnement et l'Amélioration du cadre de vie de la Presqu'île de Saint-Mandrier
Journal Officiel du 15 juin 1983 - Agrément préfectoral du 28 juin 1989
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