La procédure a été initiée par le Préfet du Var contre la commune de Saint Mandrier devant le Tribunal administratif de Nice.
Le jugement rendu le 3 mars 2005 a donné raison au Préfet du Var et à l'APE intervenante sur le dossier. La commune est condamnée à reprendre les enrochements litigieux pour les positionner en dehors des limites de la concession de la plage naturelle.
L'APE fait appel du jugement du 4 février 2010 concernant la plage de la Coudoulière.
L'APE s'oppose à ce que les enrochements, bétonnés ou non, soient remis sur la plage. La nature finit toujours par reprendre sa place, et les actions successives de la municipalité n'ont fait que dégrader davantage la situation, au détriment du contribuable mandréen et de l'environnement. L'état actuel de la plage le démontre chaque jour.