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9 septembre 2025 : le spectacle était au rendez-vous dimanche soir !

Dimanche soir, la pleine Lune au-dessus de la mer a tenu toutes ses promesses. Comme nous l’avions annoncé, l’éclipse totale a offert un spectacle grandiose : la Lune qui avait disparu est réapparue drapée d’un rouge cuivré au-dessus de la mer calme, avant de retrouver graduellement sa clarté éclatante.

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On vous l’avait dit… et c’est exactement ce qui s’est passé !

Un moment rare, partagé avec la nature et qui rappelle la beauté fragile de notre environnement nocturne, à partir du haut de la Renardière encore préservé des lumières excessives.

Nous vous proposons de revivre cet événement à travers 2 vidéos, retraçant toutes les phases de l’éclipse à sa sortie de la pénombre.

Le ciel s’est dégagé à temps pour permettre une observation détaillée de la réapparition progressive de la Lune après la phase de totalité. Ces clichés mettent en valeur la transition de l’ombre à la lumière lunaire. Pour révéler les détails des cratères et des reliefs lunaires qui réapparaissaient progressivement, la partie brillante de la Lune a été photographiée avec le diaphragme réglé à son ouverture la plus fermée, réduisant la surexposition et accentuant les contrastes des formations géologiques.

Un souvenir céleste qui nous invite, une fois encore, à lever les yeux vers le ciel et à protéger ce qui fait la richesse de notre cadre de vie.

L'éclipse lunaire totale que nous venons d’observer appartient à la série Saros 128, plus précisément au cycle numéro 37 de cette série, située donc près du milieu de cette série, où les éclipses sont généralement plus longues et centrales (la Lune passe à proximité du centre de l'ombre terrestre). Celle d’hier était une éclipse totale qui se produit quand le Soleil, la Terre et la Lune sont parfaitement alignés dans cet ordre, et que la lune est dans sa phase pleine. La Lune a donc totalement disparue dans l'ombre terrestre, en prenant une teinte rougeâtre ("Lune de sang"). Cette éclipse était visible depuis l'Europe, l'Afrique, l'Asie, l'Australie, et certaines parties des Amériques.

La Série Saros 128 comprend 71 éclipses lunaires, débutant le 29 août 984 et se terminant le 28 novembre 2245. Elle produit des éclipses totales, partielles et pénombrales répétées tous les 18 ans et 11 jours environ (période du cycle Saros). La précédente éclipse de la série Saros 128 a été observée le 27 août 2007, également une éclipse totale, tout comme la suivante dans cette série qui aura lieu le 18 septembre 2043.

Nous invitons les passionnés d’astronomie et les curieux à découvrir cette série et à partager leurs propres observations sur notre site.

23 août 2025 : Encore un nuage toxique au-dessus de notre horizon

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Ce matin, le Pascal Lota, battant pavillon italien de la Corsica Ferries, a laissé une traînée de fumées noires visible depuis toute la presqu’île (Photographie prise le 23 août 2025 à 9h09).

Quand la mer et l’air deviennent la poubelle des ferries, c’est notre santé et notre environnement qui en paient le prix. Il est plus que temps d’exiger l’utilisation de carburants vraiment propres, des contrôles stricts et des navires équipés d’une motorisation moderne et non polluante.

#Pollution #CorsicaFerries #SaintMandrier #AirPur

7 septembre 2025 : Ce soir, la Lune se pare d’ombre et de lumière au-dessus de la mer

La pleine Lune se lèvera ce soir au-dessus de la mer, offrant un spectacle déjà magique. Mais le ciel nous réserve encore mieux : une éclipse totale de Lune, visible depuis notre presqu’île. Pas de nuage en perspective !

Voici les horaires à retenir en heure locale :

  • 17h28 → entrée dans la pénombre
  • 18h27 → début de la phase partielle (la Lune commence à être « grignotée »)
  • 19h30 → début de la totalité, la Lune prend une teinte cuivrée
  • 20h11 → maximum de l’éclipse, moment le plus spectaculaire
  • 20h52 → fin de la totalité
  • 21h56 → fin de la phase partielle
  • 22h55 → sortie complète de la pénombre

Entre 19h30 et 20h52, la Lune sera totalement éclipsée, colorée d’orange et de rouge par la lumière de notre atmosphère.

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Un moment rare, à contempler depuis la côte, avec la mer comme horizon et la nature comme écrin. Un aperçu du spectacle de ce soir (photographie prise le 6 septembre 2025 à 20h00)

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Plante protégée de Saint-Mandrier : Les Gattiliers de Pin Rolland

Le Gattilier qui porte le nom scientifique de Vitex agnus-castus L. est un bel arbuste que vous identifierez facilement au rond-point de Pin Rolland face au stade là où les travaux des nouvelles constructions ont commencé et le long du parking du stade.

00 Forme arbustive du Gattilier présent en bordure du fossé de la D18 P6281153 rr

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Milieu marin de la baie de Cavalas

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Inventaire de la LPO

A la demande de l'APE, la Ligue de Protection des oiseaux (PACA) a réalisé en juillet 2006 l'inventaire des oiseaux sur la presqu'île.

17 août 2018: les méduses réapparaissent sur nos plages

Après un mois de juillet et début août sans méduse et sans quasiment de vent, après le changement des courants du au Mistral, les méduses réapparaissent sur nos plages mandréennes. Parmi les 4 espèces les plus communes en Méditerranée, c’est la plus urticante qui est à nouveau parmi nous : la Pélagie (Pelagia noctiluca). Elle est translucide avec une ombrelle aux reflets roses et violets généralement de taille comprise entre 5 et 17 cm avec 8 tentacules blanchâtres très urticants atteignant 40 cm de long ! La Pélagie est un animal planctonique incapable de lutter contre les courants. Elle est commune au large et les épisodes venteux l’amène avec les courants de surface qu’ils génèrent sur nos côtes en banc de plusieurs centaines d'individus flottant à proximité de la surface de la mer.

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La Pélagie a un rôle écologique important à la fois comme prédatrices et comme sources de nourriture pour d'autres animaux. Elle participe donc à l'équilibre de la vie de la Méditerranée. De nombreuses espèces de poissons (poisson-lune, etc.), de cétacés, de tortues et d'oiseaux de mer se nourrissent de méduses. La Pélagie se nourrit de plancton constitué de larves de mollusques, crustacés et de poissons qui dérivent avec elle au gré des courants.

Pour attraper les organismes planctoniques dont elle se nourrit, la Pélagie déploie ses longs filaments Ces filaments sont couverts de cellules urticantes (les cnidoblastes) munies d’un minuscule harpon relié à un réservoir contenant un liquide venimeux qui est injecté dans les proies pour les tuer. Lorsque nous les rencontrons dans l’eau, au contact de leurs filaments, ce sont ces mêmes cnidoblastes qui nous piquent et injecte ce venin urticant à la surface de notre peau.

Lorsqu’on est piqué, il est conseillé de sortir immédiatement de l’eau pour éviter de se faire piquer d’avantage. Il ne faut surtout pas gratter l’endroit de la piqure mais la rincer à l’eau de mer sans frotter, recouvrir la piqure de sable et la laisser sécher. Ne pas rincer à l’eau douce car cela ferait éclater les cnidoblastes intactes. Retirez ensuite le sable à l’aide d’un carton rigide ou d’une carte de crédit pour enlever les cnidoblastes qui pourraient être encore présents collés sur la peau avec d’autres filaments. Rincez à nouveau à l’eau de mer avant d’appliquer un antiseptique et d’aller en pharmacie. Ne jamais toucher les méduses échouées sur les plages car leurs filaments conservent leur pouvoir urticant.

Depuis les années 2000, les scientifiques et les baigneurs ont observés que la Pélagie pullulait dans les eaux de la Méditerranée. Cette prolifération aurait trois causes : la pollution qui décime leurs prédateurs, comme les tortues ou les oiseaux marins, la surpêche qui élimine également leurs prédateurs (thons,...) mais aussi leurs concurrents pour la nourriture en plancton (poissons planctonophages : anchois, sardines...) et enfin l'augmentation de la température des océans qui a été de + 1 °C sur les trente dernières années en Méditerranée. La surpêche de poissons planctonophages fait qu’il y a plus de plancton disponible pour les méduses qui s'en nourrissent et se multiplient et dont la descendance exponentielle mangent de grandes quantités de larves de poissons dont la population s’écroule. De plus, les larves de méduses se développent d'autant plus rapidement que la température de l'eau est élevée, arrivant plus vite à maturité avec des conditions de température favorables à leur reproduction qui durent plus longtemps. En conclusion : l'homme est donc le meilleur allié des méduses !

18-23 juillet 2018: observation d'une raie à Saint-Mandrier

Ce mercredi 18 juillet 21018, un adhérent de l'APE a observé en fin d'après-midi une raie nageant près de la surface dans le port de Saint Mandrier. A la vue de la silhouette avec une longue queue et de sa couleur uniforme sombre, d'une largeur d'environ 50 cm, cela pourrait être une raie pastenague violette dont le nom scientifique est Pteroplatytrygon violacea.
Cette observation confirme la richesse de la biodiversité de notre presqu'île avec cette espèce de raie qui a été inclue dans la famille des Dasyatidae de l'ordre des Myliobatiformes. C'est une espèce indigènes de nos côtes méditerranéennes. Elle se nourrit de méduses, calamars, crabes, crevette et de poissons. 
Elle a été classée par le Comité français de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) dans les espèces considérées comme quasi menacées, c'est à dire parmi les espèces proches du seuil des espèces menacées ou qui pourrait être menacée si des mesures de conservation spécifiques n’étaient pas prises (pour plus de détails: Liste_rouge_Requins-et-raies_de_metropole_17_dec_2013.pdf).

Les raies pastenagues ne sont pas des animaux agressifs mais il faut éviter de les effrayer car leur caudale est équipée d‘un aiguillon caduque dentelé possédant des glandes à venin. Elles l’utilisent pour se défendre ou lorsqu’elles se croient menacées comme par exemple lorsqu’on leur marche dessus quand elles sont enfouies dans le sable.

L’aiguillon effilé pénètre facilement dans la peau où il injecte un venin qui entraîne immédiatement une très vive douleur qui s’amplifie dans les deux heures qui suivent. La piqure peut entraîner des malaises allant jusqu’à la perte de connaissance. Lorsque l’aiguillon est planté profondément, à la façon d’un harpon l’orientation des dentelures empêche son retrait. il ne faut pas essayer de le retirer car on risque de déchirer profondément les tissus de la peau et du muscle. Il devra être retirer par chirurgie. Comme de nombreux venins, celui des raies est thermolabile et est inactivé à partir de 50°C. L’immersion de la zone atteinte dans de l’eau chaude inférieure à 50°C (pour éviter les brûlures) pendant au moins trente minutes inactive le venin. L’extrémité d’une cigarette incandescente peut être approchée jusqu’à quelques millimètres de la plaie avec des mouvements de va-et-vient pour inactiver le venin mais surtout sans toucher la peau pour éviter les brûlures. Pour éviter les complications consultez très rapidement un médecin qui vous expliquera les soins locaux et la surveillance de la plaie et pourra prescrire un antibiotique.

N'hésitez pas à nous reporter toutes observations intéressantes, avec une photographie si possible, concernant l'environnement de la presqu'île.
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23 juillet: nouvelle observation d'une raie, la couleur violette ne fait plus de doute, c'est bien une raie pastenague.
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Photographies de la presqu'île

Sur ce remarquable site réalisé par Dominique et Pierre Calmet, tous deux adhérents de l'APE, vous trouverez les magnifiques photos faites au travers de leurs pérégrinations sur la presqu'île ou lors de plongées sous-marines.

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Dominique et Pierre sont des passionnés de l'environnement, de la plongée sous-marine en apnée et de la photographie. Vous découvrirez notamment sur le site les photos prises lors des chutes de neige de fin février. L'occasion de découvrir la presqu'île sous un autre angle.

Bonne découverte

Les oiseaux de Saint-Mandrier

Les oiseaux partagent notre quotidien que ce soit à la ville, à la campagne, à la mer ou à la montagne. Certaines espèces s’adaptent facilement à la présence humaine, d’autres sont plus discrètes et évitent les zones urbanisées.  En effet, chaque espèce d’oiseau vit dans un habitat adapté à ses besoins en eau, en nourriture et à sa reproduction. Certaines espèces d’oiseaux vivent en permanence sur la presqu’île de Saint Mandrier. D’autres ne s'y arrêtent que quelques jours lors de leur migration, parfois sur des milliers de kilomètres, pour aller chercher plus au nord ou au sud ce qui est nécessaire à leur survie.

Certaines espèces se raréfient, à cause de la dégradation, voire la disparition de leur habitat. En effet, la construction de nouvelles routes et de zones urbaines conduit à la fragmentation et la diminution de la surface des forêts et au drainage des zones humides, ce qui associées à des pollutions chimiques, sonore ou lumineuse, entraînent une forte dégradation des différents habitats naturels dont les oiseaux dépendent.

Sur notre littoral, les oiseaux marins planent au-dessus des vagues au large des plages surpeuplées en été. Les oiseaux de nos collines se partagent un habitat plus calme, mais qui demande des qualités physiques particulières à cause des températures torrides de notre été et la rareté des points d’eau.

Sur cette page nous espérons vous aider à découvrir les oiseaux résidents ou de passage sur la presqu’île.  Pour vous aider à les identifier, à les observer, à les admirer, mais aussi à les protéger, vous trouverez ci-dessous la liste des oiseaux régulièrement observés sur la presqu’île, illustrée par les superbes photos des membres/amis de l’APE. Qu’ils en soient ici remerciés.

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Flore de Saint Mandrier

Merci à Paul Vincent pour son travail remarquable

 Nom commun Nom scientifique
 Acanthe à feuilles larges  Acanthus mollis
 Agapanthe  Agapanthus africanus
 Agave américain  Agave americana
 Agave américain marginé  Agave americana var. marginata
 Agave picta  ?
 Ail de Naples  Allium neapolitum
 Ail faux poireau  Allium ampeloprasum
 Ail rose  Allium roseum
 Ajonc de Provence  Ulex parviflorus
 Alysson maritime  Lobularia maritima
 Andryala à feuilles entières  Andryala integrifolia
 Aneth odorant  Anethum graveolens
 Arbousier  Arbutus unedo
 Asparagus sauvage  Asparagus acutifolius
 Asphodèle porte-cerise  Asphodelus cerasiferus
 Barbe de jupiter  Anthyllis barba-jovis
 Belle de nuit  Mirabilis jalapa
 Bourrache officinale  Borago officinalis
 Brachypode rameux  Brachypodium retusum
 Grande Brize  Briza maxima
 Petite Brize  Briza minor
 Bruyère arborescente  Erica arborea
 Calicotome épineux  Calicotome spinosa
 Canne de Provence  Arundo donax
 Capuchon de moine  Arisarum vulgare
 Cardamine hérissée  Cardamine hirsuta
 Centaurée perfoliée  Blackstonia perfoliata
 Petite Centaurée maritime  Centaurium maritimum
 Céphalanthère à feuilles étroites  Cephalantera longifolia
 Chardon à capitules denses  Carduus pycnocephalus
 Chardon laiteux  Galactites tomentosa
 Chasmanthe  Chasmanthe aethiopica
 Chêne liège  Quercus suber
 Chêne vert  Quercus ilex
 Chèvrefeuille des Baléares  Lonicera implexa
 Chicorée sauvage  Cichorium intybus
 Ciste à feuilles de sauge  Cistus salviifolius
 Ciste cotonneux  Cistus albidus
 Ciste de Montpellier  Cistus monspeliensis
 Clématite brulante  Clematis flammula
 Coquelicot  Papaver rhoeas
 Coris de Montpellier  Coris monspeliensis
 Coronille à branches de jonc  Coronilla juncea
 Coronille glauque  Coronilla valentina subsp. glauca
 Cousteline  Reichardia picroides
 Crépide à feuilles de pissenlit  Crepis vesicaria subsp. taraxacifolia
 Crépide de Nimes  Crepis sancta
 Criste marine  Crithmum maritimum
 Cymbalaire des murs  Cymbalaria muralis
 Cynoglosse de Crète  Cynoglossum creticum
 Cyprès commun  Cupressus sempervirens
 Dactyle pelotonné  Dactylis glomerata
 Dame de onze heures  Ornithogalum umbellatum
 Daphné garou  Daphne gnidium
 Dorycnie à cinq folioles  Dorycnium pentaphyllium
 Erodium acaule  Erodium acaule
 Erodium à feuilles de mauve  Erodium malacoides
 Erodium bec-de-cigogne  Erodium ciconium
 Erodium bec-de-grue  Erodium cicutarium
 Euphorbe characias  Euphorbia characias
 Euphorbe maritime  Euphorbia paralias
 Euphorbe fluette  Euphorbia exigua
 Euphorbe réveille-matin  Euphorbia helioscopia
 Férule commune  Ferula communis
 Ficaire  Ranunculus ficaria
 Figuier de Barbarie  Opuntia ficus-indica
 Filaire à feuilles étroites  Phillyrea angustifolia
 Filaire à larges feuilles  Phillyrea latifolia
 Folle avoine  Avena fatua
 Fragon  Ruscus aculeatus
 Freesia  Freesia alba
 Fumeterre des murailles  Fumaria muralis
 Fumeterre grimpante  Fumaria capreolata
 Gaillet gratteron  Galium aparine
 Gattilier  Vitex agnus-castus
 Genet blanc  Genista monosperma
 Genêt dEspagne  Spartium junceum
 Genévrier cade  Juniperus oxycedrus
 Genévrier de Phénicie  Juniperus phoenicea
 Géranium pourpre  Geranium robertianum subsp. purpurea
 Gesse ocre  Lathyrus ochrus
 Giroflée des jardins  Mathiola incana
 Giroflée murailles  Erysimum cheiri
 Glaieul douteux  Gladiolus dubius
 Globulaire buissonnante  Globularia alypum
 Grande pervenche  Vinca major
 Griffe de sorcière  Carpobrotus edulis
 Héliotrope d’Europe  Heliotropium europaeum
 Hyoséris rayonnante  Hyoseris radiata
 Inule visqueuse  Inula viscisa
 Iris d’Alger  Iris unguicularis
 Lagure ovale  Lagurus ovatus
 laîche de Haller  Carex halleriana
 Laiteron délicat  Sonchus tenerrimus
 Laiteron potager  Sonchus oleraceus
 Lamier amplexicaule  Lamium amplexicaule
 Lavande des Maures  Lavandula stoechas
 Léontodon faux pissenlit  Leontodon taraxacoides
 Lilas d’Espagne  Centranthus ruber
 Limodore à feuilles avortées  Limodorum abortivum
 Lin à trois styles  Linum trigynum
 Lin bisannuel  linum bienne
 Liseron de Provence  Convolvulus althaeoides
 Liseron de Mauritanie  Convolvulus sabatius
 Lotier faux-cytise  Lotus cytisoides
 Luzerne arborescente  Medicago arborea
 Luzerne polymorphe  Medicago polymorpha
 Maceron potager  Smyrnium olusatrum
 Mauve royale  Malva dendromorpha
 Mercuriale annuelle  Mercurialis annua
 Monnaie du Pape  Lunaria annua
 Morelle noire  Solanum nigrum
 Mouron bleu  Anagalis foemina
 Mouron rouge  Anagalis arvensis
 Moutarde sauvage  Sinapsis arvensis
 Muscari à toupet  Muscari comosum
 Myrte commune  Myrtus communis
 Narcisse à deux fleurs  Narcissus xmedioluteus
 Narcisse papyracée  Narcissus papyraceus
 Nombril de Vénus  Umbilicus rupestris
 Olivier de Bohème  Elaeagnus angustifolia
 Ophrys abeille  Ophrys apifera
 Ophrys élevé  Ophrys exaltata
 Ophrys bécasse  Ophrys scolopax
 Ophrys hybride entre araignée et bécasse  ?
 Orchis géant  Barlia robertiana
 Orchis peint  Orchis picta
 Orge des rats  Hordeum murinum
 Oxalis articulé  Oxalis articulata
 Oxalis des Bermudes  Oxalis pes-caprae
 Pariétaire officinale  Parietaria officinalis
 Passerage drave  Lepidium draba
 Peigne de Vénus  Scandix pecten-veneris
 Pétasites odorant  Petasites pyrenaicus
 Phagnalon des rochers  Phagnalon saxatile
 Phalangère à feuilles plates  Symaethis planifolia
 Picride fausse vipérine  Picris echioides
 Pin d’Alep  Pinus halepensis
 Pissenlit commun  Taraxacum ruderalia
 Pistachier lentisque  Pistacia lentiscus
 Pulicaire dysentérique  Pulicaria dysenterica
 Ravenelle maritime  Raphanus raphanistrum subsp. landra
 Renoncule rampante  Ranunculus repens
 Réséda raiponce  Reseda phyteuma
 Romarin  Rosmarinus officinalis
 Roquette cultivée  Eruca sativa
 Fausse roquette  Diplotaxis erucoides
 Salsepareille  Smila aspera
 Salsifis à feuilles de poireau  Tragopogon porrifolius
 Scabieuse maritime  Scabiosa atropurpurea subsp. maritima
 Séneçon cinéraire  Jacobaea maritima
 Séneçon commun  Senecio vulgaris
 Séneçon lierre  Senecio angulatus
 Sérapias d’Hyères  Serapias tolbia
 Sérapias en cœur  Serapias cordigera
 Sérapias à labelle allongé  Serapias vomeracea
 Sérapias à petites fleurs  Serapias parviflora
 Shérardie des champs  Sherardia arvensis
 Silène de France  Silene galica
 Tamaris d’Afrique  Tamarix africana
 Tamier commun  Discorea communis
 Trèfle étoilé  Trifolium stellatum
 Trépane barbue  Tolpis barbata
 Urosperme de Daléchamps  Urospermum dalechampii
 Vesce cultivée  Vicia sativa subsp. sativa
 Vesce de Bithynie  Vicia bithynica

Inventaire de l'association Reptil'Var

A la demande de l'APE, l'association Reptil'Var a réalisé en juillet 2006 l'inventaire herpétologique de la presqu'île.

Mésange charbonnière

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Lors du débroussaillage : faites bien attention aux nids. Vérifiez si les nichées ont bien pris leur vol avant de débroussailler et de tailler vos haies

Libellule rouge

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Bergeronnette des ruisseaux

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Mante religieuse

Ci-dessous, 2 photos de la mante religieuse, espèce protégée à Saint Mandrier.

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Couleuvre à échelons

Deux photos de couleuvres à échelons. Nous rappelons que les couleuvres à échelons ne sont pas dangereuses pour l'homme. Elle siffle lorsqu'elle se sent menacée, éloignez-vous tranquillement.

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Ci-dessous, la photo d'une très jeune couleuvre à échelons, retrouvée morte sur la chaussée.

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Les couleuvres à échelons ne sont pas dangereuses pour l'homme. La couleuvre à échelon peut atteindre la taille de 1,6 mètres à l'age adulte, ce qui fait qu'elle peut paraitre menaçante alors qu'elle ne l'est pas en réalité. Elle siffle lorsqu'elle se sent menacée, ce qui a pour effet d'attirer l'attention sur elle.

Lorsque vous voyez une telle couleuvre, mettez-vous à une distance raisonnable et observez la gentiment. rapportez vos observations à l'APE This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.. Merci.

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Association pour la Protection de l'Environnement et l'Amélioration du cadre de vie de la Presqu'île de Saint-Mandrier
Journal Officiel du 15 juin 1983 - Agrément préfectoral du 28 juin 1989
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